#streamcaribbean avec Jocelyne Béroard (4/4)

C’est avec joie que je vous propose une interview spéciale avec Mme Jocelyne Béroard du groupe Kassav’. Réalisé dans le cadre de la promotion de son autobiographie “Loin de l’amer”, cet entretien est l’occasion d’explorer divers aspects de sa vie liés au cinéma, à la littérature et à la musique. Vous pouvez écouter les parties 1, 2 et 3. Voici la quatrième et ultime partie où on discute de la féminisation du zouk, la dépréciation du genre musical et l’importance du public local et diasporique pour soutenir un rayonnement culturel. Bonne écoute !

0:00 - 0:39 : intro + générique

0:40 - 1:38 : présentation de l’épisode

1:39 - 7:22 : la féminisation du zouk dans les années 80

7:23 - 9:50 : la simplification de la création dans le zouk qui entraîne une dépréciation du genre musical

9:51 - 12:10 : l’importance de ne pas copier les autres et garder l’originalité du zouk antillais

12:11 - 15:26 : comment un tube se crée -> argent vs. émotion

15:27 - 19:30 : la nécessité d’aimer notre zouk pour continuer à innover

19:31 - 21:20 : comparaison avec le konpa et la salsa dont la valeur n’est jamais remise en cause vs. notre regard dévalorisant sur notre zouk

21:21 - 22:50 : l’amour du public Martinique / Guadeloupe comme facteur déterminant du succès de Kassav’

22:51 - 27:21 : la difficulté pour Kassav’ et nos artistes de valoriser leurs accomplissements + la promotion sur Internet

27:22 - 31:04 : le rôle de la Caraïbe et de l’Afrique dans le développement de leur carrière

31:05 - 33:32 : l’importance de plaire d’abord au public local et diasporique de chez soi

33:33 - 34:38 : le rôle des diffuseurs pour nous formater et effacer notre identité culturelle caribéenne

34:39 - 38:39 : sa définition de la réussite = le matérialisme ? la santé mentale ?

38:40 - 39:23 : outro + générique