Trois angles morts du cinéma "antillais"

Yé Moun La! Voici un enregistrement spontané lors d’une séance de marche. Le thème du jour : les angles mort du cinéma antillais. Cet épisode a été enregistré le 1er mai 2025.

0:00 - 0:22 : intro

00:23 - 1:54 : choix du sujet de l’épisode. Description de la soirée de présentation “un cinéma décolonial : les personnages du cinéma antillais” de Guillaume Robillard à la librairie Calypso le 29 avril 2025

Angle mort #1 - le cinéma faussement militant mais qui est en réalité conformiste

1:55 - 4:25 : pourquoi les cinéastes antillais ont eu du mal à développer un cinéma indépendant

4:26 - 6:00 : la projection d’intentions sur des films “militants” dans le respect de ce que l’industrie française. Exemple : la représentation des femmes.

6:01 - 8:15  : l’obstination des cinéastes antillais à se faire financer par les institutions. Contre-exemple : Alain Bidard (Battledream Chronicle, Opal) et son mindset

Angle mort #2 - le refus de s’inscrire dans une tradition cinématographique

13:45 - 17:49 : l’indifférence voire le mépris envers “Rue Cases-Nègres” d’Euzhan Palcy

Angle mort #3 - le manque d’intérêt pour toucher un public caribéen

19:45 - 23:14 : le manque de stratégie internationale des cinéastes “antillais” + brève analyse de la stratégie internationale d’Alain Bidard

23:15 - 29:19 : conclusion récapitulative

29:20 - 30:24 : bonus sur l’importance d’utiliser le terme “cinéma guadeloupéen” à la place de “cinéma antillais”

30:25 - 30:48 : outro