Karukerament - After Mas

Yé Moun La ! Aujourd'hui, je vous parle du film “After Mas” (2013) de Karen Martinez.

0:00 - 0:26 : introduction + générique

0:27 - 1:15 : message de soutien aux auditrices et aux auditeurs par rapport à la crise sanitaire.

1:16 - 2:19 : actu de myinsaeng.com qui fête ses 4 ans + annonce de nouveautés.

2:19 - 4:24 : explication sur #streamcaribbean

Yé krik yé krak

4:25 - 5:14 : de l’importance des enjeux de représentation pour le Carnaval caribéen.

5:15 - 7:29 : définition du mot “mas” en créole + résumé de l’intrigue du film “After Mas”.

7:30 - 8:29 : rappel de ma mini-review et présentation de l’interrogation de l’épisode : comment le Carnaval permet-il de représenter la diversité et l’histoire des sociétés caribéennes ?

8:30 - 8:54 : remerciements + promo des réseaux sociaux

8:55 - 9:25 : générique de fin + crédits des artistes ayant donné leur autorisation pour l'utilisation des extraits musicaux.

0:00 - 0:26 : introduction + générique

0:26 - 1:18 : présentation du film + synopsis

1:19 - 1:50 : questionnement dans cet épisode : comment le Carnaval permet-il de représenter la diversité et l’histoire des sociétés caribéennes ?

Connexion caribéenne 1

1:50 - 4:04 : exemple de représentation du Carnaval au cinéma avec Orfeo Negro de Marcel Camus (1959). Le Carnaval de Rio est représenté par son origine géographique et son origine sociale.

4:04 - 5:47 : contextualisation pour le cas français avec les réseaux sociaux où il y a un débat récurrent sur “les Antillais rejettent leur africanité” et “les Antillais.e.s sont chaud.e.s”.

5:47 - 8:04 : le Carnaval catalyse ce débat sur l’identité caribéenne. Il est une tradition qui s’est exporté avec la circulation de la diaspora, mais l’aspect transmission culturelle et symbole historique est invisibilisé.

8:05 - 10:17 : explication sur les origines du Jouvert et des enjeux autour du Carnaval avec une comparaison avec le Carnaval de Guadeloupe en s’appuyant sur les réflexions de la sociologue Stéphanie Mulot.

10:18 - 11:36 : analyse sur la tradition carnavalesque du déguisement héritée des ancêtres réduits en esclavage où il faut se recouvrir de peinture ou d’huile. Il y a le blue devil de Trinidad, le jab jab de Grenada.

11:37 - 13:34 : exemples en Martinique et en Guadeloupe avec le Nèg Gwo Siwo, le Kongo, le Karayib + l’événement du Mas Maten en Guadeloupe qui peut être placé en parallèle du Jouvert.

13:35 - 14:48 : le Carnaval symbolise la synthèse culturelle à travers l’histoire : les racines africaines, indiennes, amérindiennes, européennes. On le voit aussi dans la musique de Carnaval comme la soca.

14:49 - 17:37 : le Carnaval comme le lieu d’expression de soi et de l’acceptation de l’autre sans condition et l’importance du consentement.

17:38 - 18 : 03 : introduction de la connexion caribéenne 2 : le Carnaval qui cache les identités et les classes sociales.

18:04 - 18:27 : remerciements + promo des réseaux sociaux

18:29 - 18:56 : générique de fin + crédits des artistes ayant donné leur autorisation pour l'utilisation des extraits musicaux.

0:00 - 0:26 : introduction + générique

0:26 - 1:18 : présentation du film + synopsis

1:19 - 1:50 : questionnement dans cet épisode : comment le Carnaval permet-il de représenter la diversité et l’histoire des sociétés caribéennes ? + rappel de la première connexion caribéenne sur le Carnaval comme visualisation de l’histoire de la Caraïbe.

Connexion caribéenne 2

1:51 - 3:00 : définition du colorisme dans le contexte caribéen.

3:00 - 6:00 : la mise en scène de la création du lien entre Curtis et Abby qui va au-delà de la séduction. Karen Martinez montre qu’ils sont “identiques” en tant qu’être humain. Le Carnaval leur donne une couleur neutre.

6:01 - 7:24 : analyse du personnage de Curtis qui montre une humanisation de l’homme noir.

7:25 - 9:00 : analyse du personnage d’Abby qui est consciente de son privilège.

9:01 - 10:45 : analyse de l’approche du colorisme dans After Mas.

10:46 - 11:59 : réflexion sur le traitement du colorisme dans les fictions françaises comme Rue Cases-Nègres d’Euzhan Palcy, La Grande Béké d’Alain Maline et Le Bonheur d’Elza de Mariette Montpierre.

12:00 - 13:00 : rappel de mon approche Karukerament dont le but est de mettre en lumière une vision nuancée et complexe de la Caraïbe, parfois à contre-courant des stéréotypes.

13:01- 13:46 : conclusion sur le Carnaval qui permet de cacher les problèmes de classe et de race mais ne les abolit pas.

13:47 - 14:30 : remerciements + promo des réseaux sociaux + présentation de mon hors-série n°3 sur la représentation de l’esclavage dans les fictions audiovisuelles françaises.

14:31 - 15:04 : générique de fin + crédits des artistes ayant donné leur autorisation pour l'utilisation des extraits musicaux.