The Caribbean Millenials Podcast - French Connection - Episode 87 (Résumé)

J’étais l’invitée de l’épisode 87 du podcast The Caribbean Millenials… C’est un podcast que je suis quasiment depuis ses débuts. J’en avais même fait une review sur mon blog myinsaeng.com en août 2018 car il fait partie de ce que je pense être la première vague de podcasts caribéens lancés entre 2018-2019 dans le sillon des pionniers de 2016-2017 comme Carry On Friends.

Chaque semaine, Anushka, Vernon et Adani se retrouvent pour commenter l’actualité de leur point de vue de Caribéens de la génération Y (les bébés des années 80 - 90). Le trio de Saint-Lucie s’intéresse également de sujets propres aux sociétés caribéennes. Vous pouvez retrouver mon top 5 de leurs épisodes dans la newsletter 3 consultable ici. Evidemment, l’épisode que nous avons enregistré ensemble sera mon numéro uno à partir d’aujourd’hui et à jamais.

Nous avons discuté de notre expérience de vie d’adolescents dans la Caraïbe et les difficultés de trouver de la représentation positive pour les Noirs dans le paysage audiovisuel français. L’épisode est en anglais. J’ai évoqué d’Alain Bidard, de Jean-Claude Barny, de Joséphine Jobert, d’Admiral T, de Kalash, de Meryl, d’Aimé Césaire, d’Edouard Glissant et de Patrick Chamoiseau. Pour vous y retrouver, voici les thèmes abordées :

  • qu’est-ce que la francophonie et le rôle de la langue pour faire la connexion entre la Caraïbe francophone et la Caraïbe anglophone ?

  • mon expérience de Guadeloupéenne dans les espaces français dans l’Hexagone (spoiler alert : j’ai bien souffert).

  • du rôle de l’école et de l’université pour créer les connexions entre les différentes sphères de la Caraïbe.

  • de l’importance de l’influence de la culture noire états-unienne quand nous étions ados.

  • le manque de reconnaissance dont les artistes caribéens sont victimes sur la scène internationale et comment les collaborations intercaribéennes et le hashtag #streamcaribbean peuvent aider à leur donner une certaine visibilité.

  • la difficulté pour les réalisateurs et réalisatrices noires de faire des films valorisant les communautés noires en France et l’ouverture sur la Caraïbe pour développer l’industrie du cinéma

Conclusion : nous avons beaucoup en commun avec la Caraïbe anglophone et c’est notre force.

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